C'est chaud mais pas encore brûlant !
Le réchauffement climatique nécessite et nécessitera des actions pour en réduire les effets sur la planète et pérenniser toutes espèces de vie , qu’elles soient végétales ou animales.
Comme de plus en plus de scientifiques s'accordent pour dire que sans une réaction et une prise de conscience universelle le pire est à craindre.
Mais nous n'en sommes pas là, et pourquoi ne pas se pencher sur certaines théories ou tout du moins sur certaines suggestions qui nous sont faites pour " sortir " de cette situation fâcheuse.
Nous savons tous que certaines ressources terrestres ne sont pas inépuisables comme le pétrole, le charbon, certains gaz, etc...
Cette prise de conscience a amené à chercher des méthodes alternatives, comme les biocarburants, la production d'énergie par des moyens naturels comme le vent, l'eau, le soleil, la production de gaz naturel, etc..
Toutefois le volet énergétique n'est pas le seul qui doit requérir notre attention.
Le réchauffement climatique dû en grande partie aux gaz à effet de serre en l'occurrence le gaz carbonique qui agit négativement sur le climat, la surproduction de ces gaz par le biais de l'industrialisation, la déforestation non contrôlée, la pollution des océans , fait que la terre n'a plus les moyens de conserver son équilibre, la transformation de l'atmosphère terrestre avec pour conséquence un réchauffement inquiétant.
Comme changer de comportement va prendre du temps, des idées naissent çà et là pour aller plus vite et aider la nature à reprendre la main et s'accorder un nouveau " souffle " .
Une des idées les plus intéressantes c'est d'arriver à trouver des supers plantes dont les principales vertus seraient de jouer une rôle de filtre naturel, mais aussi d'être comestibles.
La généticienne américaine Chory Joanne pense pouvoir relever le défi avec son équipe de chercheurs et dans moins d'une dizaine d'années mettre à disposition une, voire plusieurs de ces " supers plantes " prétendant au passage que leur culture sur une surface identique à celle de la superficie de l'Egypte permettra de réduire de 50% la quantité de ces gaz mortels.
Cette option paraît logique car depuis des millénaires les végétaux font office de filtres naturels.
Pour faire simple, les végétaux absorbent le gaz carbonique et rejettent de l'oxygène, gaz indispensable à toute vie sur terre.
L'industrialisation entre autre a sonné le glas de ce processus ingénieux , le rejet incessant de fumées nocives, par les usines,mais aussi par de nombreux moyens de transports, etc..font que la planète n'arrive plus seule à tenir son rôle de filtre.
La nature, si nous lui en donnons les moyens peut à nouveau remplir son rôle d'épurateur.
Mais ne rêvons pas trop, tout ira bien à condition que nous fassions notre part.
1) Trions consciencieusement nos déchets
2) Arrêtons de prendre notre voiture pour de petits trajets et posons nous les bonnes
questions lorsque nous changeons de véhicule.
3) Achetons ce dont nous avons besoin et pas plus pour éviter le gaspillage qui est aussi synonyme de production inutile.
4) Favorisons l'achat de produits locaux.
5) Finissons-en avec de mauvaises habitudes comme la surconsommation de viande, de poisson .
6) Ayons le réflexe d'éteindre l'éclairage quand nous quittons une pièce, ne faisons pas
couler inutilement l'eau.
Misons sur le fait que l'humanité, c'est à dire nous, saura réagir et que la nature ne sera pas trop rancunière pour tout ce que nous lui avons fait subir, et que tout puisse de nouveau rentrer dans l'ordre.
ST/CB
Le savez-vous ?
Chaque seconde dans le monde, plus de 1 million de kilos de CO2 sont émis dans l'atmosphère (compteur). Cela représentait, en 2016, des émissions de 36,4 milliards de tonnes de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère, à peine plus qu'en 2015 et 2014. Le taux de concentration de CO2 dans l'atmosphère a lui aussi atteint un record avec 403,3 ppm (2016).
Un paquebot de croisière émet autant de particules fines qu'un million de voitures
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