Un an et il est toujours là

Un an, deux confinements, des couvre-feux, mais le coronavirus est toujours présent.

Tout a été dit et son contraire aussi.

Par conséquent, difficile d'y voir clair.

D'autant plus qu'une nation de médecins, épidémiologistes, statisticiens, économistes, protestataires etc. est née.

Mais pour l'heure ce qui nous importe c'est non seulement ce qui va arriver mais aussi et surtout comment s'y préparer.

Pour ce qui est de ce qui va arriver, bien malin qui peut le prédire.

Mais y faire face nous y sommes obligés.

Ce dont nous sommes certains c'est qu'un ou plutôt plusieurs virus se déplacent un peu partout dans le monde, se moquant des frontières, du protectionnisme en tout genre avec des conséquences funestes pour des milliers de nos contemporains.

De toutes évidences un corps dont on prend soin semble résister plus efficacement contre les attaques de ces virus opportunistes.

Le tabagisme, l'abus d'alcool, l'excès de nourriture appauvrissent le système immunitaire de notre organisme.

Le confinement, les couvre-feux, de leurs côtés favorisent le développement de ces mauvaises habitudes.

Le tribut à payer pour avoir été négligent dans ces domaines est bien trop lourd pour ne pas essayer d'y remédier.

Nous connaissons tous des personnes de notre entourage qui ont réussi à se débarrasser d'une ou plusieurs de ces mauvaises habitudes.

Pourquoi ne pas leur demander conseil, ou de se tourner vers notre médecin pour trouver une solution.

Les activités en plein air comme le jardinage ou une activité sportive comme la marche, le vélo etc.

Sentir son corps " VIVRE " pleinement est un des objectifs qui doit nous aider dans notre lutte.

Rappelons-nous aussi que les maladies virales sont comme la plupart des maladies à savoir opportunistes, elles s'attaquent à tous les organismes mais elles sont beaucoup plus efficaces sur des organismes affaiblis par des mauvaises habitudes.

Alors ne remettons pas à demain mais prenons notre courage à deux mains pour faire notre part dans la lutte contre le coronavirus.

Serge Tonoli